Nom: Asame
Prénom: Yuri
Âge: 14 ans
Statut: Élève
Classe: 4ème Akai
Physique: Yuri a les épaules tombantes, une petite taille (Karin est la seule qu'elle puisse encore dépasser, à sa connaissance...) et pas beaucoup de poitrine. Elle est presque aussi un peu trop mince... Ses cheveux, couleur boue, sont longs, raides, et lui tombent jusqu'aux fesses. Au niveau du front, il est dégagé, ce qui est primordial pour tout dessineux qui se respecte! Quand à ses yeux, pas mal ouverts et tirés vers le bas, ils sont d'un violet mystérieux mais assez sondable. À force de dessiner ou de bosser, probablement pas à lumière suffisante, elle est devenue myope et est contraite de porter des lunettes en toute circonstance, même en sport ou en dehors des cours. Ses culs de bouteilles, grands et ronds, lui donnent parfois un accent effrayant quand elle est dans sa phase "sombre". Enfin, ses doigts sont souples, bien que courts. Ses mains ont de la corne à force de tenir un crayon ou de pianoter sur un clavier pour ses articles, et elle tient énormément à sa main droite, étant droitière et s'en servant beaucoup pour le dessin comme pour le boulot.
Caractère: Yuri est une passionnée de mangas, à lire comme à dessiner, mais surtout à dessiner! Elle est friande de Yaoi, de Doujin à dose qu'il faut, d'Ecchi mais aussi, évidemment, de cette autre carastéristique de coupling qui porte son nom. D'ailleurs, sur ce dernier point, Karin et Konata sont son modèle de couple préféré... Comme Yuri a l'oeil et qu'elle a un sens de l'observation dû à tout bon dessineux —ce qui donne aussi parfois l'impression justifiée qu'elle vit un peu dans son monde—, elle a tout de suite remarqué leur proximité malgré leurs différences physiques ou caractérielle, et adore les dessiner en situation... Yuri, donc, même si ça la fait parfois culpabiliser. D'ailleurs, sa devise est aussi de se baser sur l'expérience personnelle pour le dessin. C'est pour ça aussi qu'elle a un côté fouineur et qu'elle note la moindre petite anecdote pour la dessiner ensuite, ce qui lui vaut aussi une bonne réputation dans le club de journalisme. Ce n'est pas plus mal... Parce que ça la force à avoir une part d'optimisme, et à se dire "Bah, je peux toujours m'en servir pour un manga" quand il lui arrive une crasse. Oui, Yuri est malchanceuse... Par moments, elle rentre dans des courtes phases de déprime où, la tête sur la table, elle se plaind de sa malchance ou du fait que les gens ne peuvent pas comprendre sa vision des choses, ou des choses comme ça... Yuri a des principes fondamentaux en tant que dessineuse, tels que ce criterium auquel elle tient énormément et sans lequel elle se refuse à dessiner correctement —psychologie...—, ou bien divers aspects de sa personnalité étrange qui peuvent la rendre à la fois forte et effrayante. Yuri est aussi un peu tête en l'air, et si elle ne note pas dans la minute une bonne idée qui lui vient, elle l'oublie très vite.
Histoire: Yuri a commencé à dessiner depuis sa plus tendre enfance. À trois ans déjà s'immiscaient dans son trait des personnages sans nez et avec de grands yeux, sans qu'elle ait vraiment la volonté du style manga. Elle aimait par ailleurs faire du bricolage, et tout ce qui touchait au travaux manuels, ainsi qu'écrire des romans. Elle pouvait passer des heures à rêvasser en cherchant des idées d'histoires toutes plus loufoques les unes que les autres. Elle a déménagé une fois. Dans son ancienne chambre, se trouvaient avant la rénovation quelques indices de sa nature d'artiste : un assortiment de draps tachés par un gros pot d'encre de Chine un soir qu'elle expérimentait le dessin au lit (elle s'était fait bien gronder ce soir-là...), des traits de pastel mal effacés sur le lino, une tache de feutre vert sur le mur, juste un petit point, une autre tache d'humidité, bien plus grosse, des traces de patafix qu'on avait retiré mais qui avait eu le temps de laisser sa marque sur le mur blanc, des traces de scotch du même genre, une armoire défoncée parce qu'un jour elle s'était mise dedans pour jouer à cache-cache, des dessins ça et là, placés devant la fenêtre, avec, étrangement, des parties toutes jaunies là où le soleil passait. Et un bureau en bordel, mais ce bureau se retrouve dans sa seconde maison exactement dans le même état que la première.
Elle grandit donc dans ce petit monde, sans encombre, expérimente tous les styles, puis finit par se tourner vers le manga, avec malgré tout des débuts pas des plus glorieux. Mais tout le monde commence comme ça, non? Certains restent même à ce stade précaire... Force d'entraînement, elle a beaucoup progressé, mais trop vite à son goût, et continue encore, ce qui l'énerve car elle aimerait se fixer un style.
Elle s'était en fait installée aux abords de la ville avec ses parents pour être plus proche de ce qui allait être son collège : la Tenba School. Là, elle se fit engager dès sa première année comme journaliste, s'inscrivant d'abord dans le club par intérêt, parce que rédiger et se renseigner sur des anecdotes des autres personnes l'amusait. En deuxième année, c'est-à-dire là où elle en est maintenant, elle est déjà connue dans le club de journalisme comme bonne chroniqueuse et comme mangaka depuis le milieu de sa première année, et a repéré dès l'année précédente (fin d'année) ses deux futures nymphes, Karin et Konata, ainsi que le clan Hoshi, sujet auquel elle prête un intérêt marqué. Elle tente d'ailleurs de faire copain-copain avec Kyon, qui, bien qu'un peu plus âgée qu'elle, a les mêmes centres d'intérêt, ce qui favorise pour le moins le dialogue.
Ami(e)(s): Karin, Konata et Maryan principalement, mais aussi plusieurs autres élèves, vu qu'elle connaît pas mal de monde.
Ennemi(e)(s): Pas encore d'ennemis. C'est à éviter, déjà assez malchanceuse comme ça.
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Lun 26 Mai - 23:33
